Au Temple Saint-Étienne, Sauveur Pascual accroche la Méditerranée…
L’espace de possibles « Bonheurs » et celui des « Exodes » pour y accéder.
Deux séries où l’intensité transparente des bleus affronte l’éclat aveuglant des blancs ou la tourmente des embruns, avec un imaginaire de paquebots, de parasols, de silhouettes en errance… dont la collision avive les souvenirs : chemins d’estive, chemins d’exils. Des destins fragiles avec souvent l’ombre solaire du paradis de l’enfance bercé de joyeuses éclaboussures.
Comme eux le peintre veut garder la foi.